Un match de 32e de finale au programme entre Courbevoie et Ris-Orangis au stade Robert Barran , à Montreuil ( match sur terrain neutre ).

  Un début de match  compliqué pour le RCC car ils sont malmenés en mêlée et commettent plusieurs fautes dans ce secteur, mais défendent correctement et encaissent zéro points malgré les opportunités pour les joueurs Rissois. Il y a du combat dans chaque maul, et de la casse pour le club des Hauts-de-Seine avec la sortie sur blessure de Adade ( n°6 ) au bout d’un quart d’heure de jeu. Il est remplacé par Janiaud ( n°19 ). Le pack des joueurs de l’Essonne est propre en touche et va inscrire un essai ( 16’) à la suite d’un maul des joueurs Essonnais. Tout est parti d’une pénaltouche trouvée dans les 22m de Courbevoie.

 

R.C. Courbevoie 0 – 5 U.S. Ris-Orangis

      Les Courbevoisiens se reprennent et poussent les Rissois à la faute. Les Essonnais sont sanctionnés à plusieurs reprises et écopent d’un carton jaune à la 23e minute.                                                                   

Les Altoséquanais trouvent une touche dans leur camp et relancent sur 50 mètres grâce à un Magassa en feu sur cette action. Les Courbevoisiens obtiennent donc une pénalité dans le camp adverse. Genet se charge d’ouvrir le compteur de points du club des Hauts-de-Seine en passant cette pénalité (26’).

R.C. Courbevoie 3 – 5 U.S. Ris-Orangis

       La réaction des Rissois ne se fait pas attendre et font ce qu’ils savent faire de mieux : les ballons portés. Même action que pour le 1er essai, pénaltouche trouvée dans les 5m des joueurs courbevoisiens et un nouveau maul qui finit aussi dans l’en-but altoséquanais ( 30’).

R.C. Courbevoie 3 – 10 U.S. Ris-Orangis

       Les Courbevoisiens réagissent eux aussi et obtiennent une nouvelle pénalité dans le camp adverse après une séquence de deux minutes avec un avantage en cours. Genet a l’occasion de réduire l’écart de points entre les deux équipes et réussit sa seconde pénalité du match ( 34’).

R.C. Courbevoie 6 – 10 U.S. Ris-Orangis

        Ris-Orangis est encore sanctionné et donne une nouvelle fois l’opportunité à Genet d’ajouter trois points sur le tableau de marque pour son équipe. Genet passe une nouvelle pénalité et ramène son équipe à un petit point de leur adversaire ( 40’).

 

R.C. Courbevoie 9 – 10 U.S. Ris-Orangis

         L’arbitre n’a toujours pas sifflé la fin de cette première mi-temps et les Courbevoisiens en profitent pour pousser de nouveau les Rissois à la faute. L’arbitre sévit et les Essonnais écopent d’un nouveau carton jaune à cause d’une faute de leur n°8 Perrocheau. Genet a l’occasion de faire passer les siens devant au tableau d’affichage mais rate la pénalité.

Score à la mi-temps : R.C. Courbevoie 9 – 10 U.S. Ris-Orangis

 

         La seconde période est beaucoup plus brouillone, plus hachée, il y a énormément de mêlées, de touches et de fautes de main et peu de «  véritable jeu ». Les Rissois trouvent quand même le moyen de passer deux pénalités ( 48’ et 62’).

R.C. Courbevoie 9 – 16 U.S. Ris-Orangis

          Cela débloque quelque peu cette fin de match mais il y a toujours une multitude de pénalités et de fautes de main. L’arbitre sévit de nouveau et le RCC écope d’un carton jaune à la 66e minute ( n°18 Tchassi ).

          Deux minutes plus tard, les Altoséquanais sont de nouveau punis avec un nouvel essai sur un ballon porté ( 68’).

R.C. Courbevoie 9 – 21 U.S. Ris-Orangis

            Il faudra attendre la fin du match pour voir Courbevoie marquer de nouveau grâce à un exploit individuel de l’imposant Vasseur ( n°13 ) qui marque le dernier essai de cette partie ( 80+2’). L’essai sera transformé par Plisson ( 80+2’).

R.C. Courbevoie 16 – 21 U.S. Ris-Orangis

            Courbevoie s’incline donc sur le score de 21 à 16 face à Ris-Orangis. Un résultat décevant pour l’équipe coachée par Frédéric Masnières et Geoffroy Tarasco. Mais ils n’ont pas été aidés par l’arbitre qui avait tendance à les sanctionner plus souvent que leur adversaire.

             Ris-Orangis ne proposa aucun «  véritable » jeu et dut s’en remettre à ses avants. Côté courbevoisien, les idées étaient présentes mais leur jeu manquait grandement de finition.